Et si le secret du bonheur n’était pas d’avoir plus, mais d’être pleinement soi ? Découvre le modèle Être-Faire-Avoir : une philosophie puissante pour vivre, travailler et réussir autrement.
Sur le bonheur. Sur l’argent. Sur la réussite.
On nous a appris à faire. À avoir. Puis, peut-être, à être. Mais si on inversait le cycle ? Si on osait commencer par être ?
Je te propose le modèle « Être-Faire-Avoir », une façon de penser, mais surtout de vivre, qui, si tu en as le courage, peut transformer ta vie et ta réalité.
Faire-Avoir-Être
Pour plusieurs, le bonheur est assombri par la perception que nous serions automatiquement heureux si nous avions plus d’argent.
Qu’est-ce qui ne va pas à propos de notre relation à l’argent ? Pourquoi est-ce qu’on a toujours l’impression d’en manquer ? Pourquoi en veut-on toujours plus ?
C’est parce que notre vision de la vie est basée sur le modèle « Faire-Avoir-Être ».
Travaille fort → Gagne de l’argent → Achète des biens → Tu seras heureux.
C’est là qu’on fait fausse route.
Ce cycle ne fonctionne pas pour la majorité d’entre nous, ainsi que pour moi ! Qu’arriverait-il si on changeait l’ordre des choses ?
« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. » — Albert Einstein
Et si on inversait notre façon de penser, d’agir et de vivre pour suivre le modèle : « Être-Faire-Avoir » ?
« Loin des vieux livres de grammaire,
Écoutez comment, un beau soir,
Ma mère m’enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir…
Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et être étaient deux frères
Que j’ai connus dès le berceau »
Faire
Qu’est-ce que je vais faire de ma vie ?
Cette question, on se la pose tous plus ou moins à partir de l’adolescence. Et souvent, elle nous titille, voire nous hante pour une bonne partie de notre vie, si ce n’est notre vie entière !
Combien de fois t’es-tu demandé :
- Dans quoi suis-je bon ?
- Quels sont mes plus grands talents ?
- Comment pourrais-je aider les gens ?
- Quelles sont mes passions ?
Et les années ont passé…
Tu as changé d’emploi, de patron et de lieu de travail. Et chaque fois, tu avais espoir d’avoir enfin trouvé ce que tu cherchais…
Mais en vain !
Tu as 35 ans, 45 ans, 55 ans… et tu cherches toujours.
Avoir
On t’a sûrement dit que ce que tu possèdes te définit.
Et c’est vrai, socialement parlant.
Avoir une famille, avoir une maison, avoir deux voitures… tu devrais être heureux, non ?
Je ne dois pas être normal, car, depuis quelques années, mes biens ne suffisent plus à me rendre heureux.
Et puis réussir dans la vie, ça ne me parle plus. Ce que je veux, c’est réussir MA vie !
Faire-Avoir-Être
Pendant longtemps, j’ai mis en pratique le cycle « Faire-Avoir-Être » en croyant que mon travail aller me procurer à la fois l’argent et la notoriété qui allaient me rendre heureux.
Ainsi, je serais quelqu’un dans la vie. Et aux yeux des autres.
Et si je devenais quelqu’un aux yeux des autres, je le deviendrais aussi à mes yeux.
Mais cette évidence n’a pas fonctionné pour moi.
Alors, je me suis remis en question, questionné, requestionné et re-requestionné.
Adopter le cycle Être-Faire-Avoir : être réellement soi
Par tenter d’incarner qui je suis vraiment ?
Ensuite, il me suffirait d’exister. Et donc, de faire un travail en lien avec mon être profond.
Car quand je suis connecté à moi-même, je fais ce qui doit arriver et j’obtiens ce qui doit être.
Une personne axée sur l’être réagit différemment d’une personne focalisée sur l’avoir :
« Aussitôt qu’elle a un désir quelconque, elle s’assure qu’il répond à un besoin de son ÊTRE. Pour ce faire, elle se demande, le fait d’obtenir ce que je désire m’aiderait à ÊTRE et à me SENTIR comment ? » — Lise Bourbeau
Qui es-tu ? Aimerais-tu le découvrir ?
Et si tu vivais un peu plus chaque jour en cohérence avec qui tu es vraiment ?
Ainsi, ton travail serait en lien avec ta mission de vie. Et tu gagnerais assez d’argent pour continuer à t’accomplir et à servir les autres !
Appliquer le cycle « Être-Faire-Avoir » changera ta vie et ta vie financière. L’argent changera de sens pour toi.
Tu vas vibrer, et faire vibrer ta vie !
Est-il vraiment plus facile de continuer à vivoter dans tous les sens pour chercher à avoir plutôt que d’apprendre à se connaître, à se respecter et à se faire respecter ?
Le plus grand risque : ne pas être toi
« Reste toujours un enfant. Ne t’arrête jamais de goûter, de sentir, de voir et d’être enthousiasmé par ces grandes choses que sont le ciel, les moteurs et les rayons de soleil qui t’éclairent. Porte bien ton petit masque, si c’est nécessaire, afin de protéger l’enfant du reste du monde, mais si tu laisses cet enfant disparaître, mon pauvre, tu ne seras plus qu’un adulte, autant dire que tu seras mort. » — Richard Bach
Oui, il y a un risque à être toi. Ce n’est pas nécessairement facile.
Tu pourrais perdre des amis. Décevoir des attentes. Bousculer les repères.
Mais il y a un risque bien plus grand à ne pas l’être.
Celui de te perdre… en chemin.
Si ce n’est pas toi qui changes ta vie… qui va le faire à ta place ?